4 cgfm y etaient !
Virginie :
Après 4 semis en 3 mois tu te dis je vais faire une pause
mais quand tu prends le train le Matin pour aller bosser tu rencontres Philippe ! et qu il te dit ma Femme Christine Wurth va faire le semi des 3 frontières
comment ne pas tomber dans la tentation de la gourmandise du semi surtout qu’une semaine avant j’avais Fait Strasbourg









Beau parcours au bord du Rhin, avec un peu de dénivelé du fait des nombreux ponts de Bâle.
J’étais déjà inscrite l’année dernière, mais je n’ai finalement pas pu y participer en raison d’une blessure.

Donc très contente de pouvoir faire ce semi cette année.

Objectif visé : 1H45’
Echauffement réalisé en toute convivialité avec ma « Team Run du Dimanche » mon adorable Coralie, Abdel
The Winner

venus tous les deux spécialement à Bâle en vélo pour nous encourager. Que du bonheur
Dès le départ, je me place à proximité des meneurs d’allure, que je dépasse facilement.

Néanmoins, petite baisse de régime au 15ème km, avec un parcours caillouteux en forêt, au bord de la rivière WIESE
Quelle déception


l’objectif visé…

Finalement, je termine à 1h43mn55, avec de surcroît une 3ème place sur le podium dans ma catégorie.

Très contente, de mon chrono, compte tenu des difficultés du parcours.
Merci à vous tous pour votre soutien et pour ce super moment


Nous nous fixons donc un objectif de moins d’1h50.

Je prends le départ plutôt sereine, sans doute apaisée par la présence de mes coéquipiers Abdel et Christine mais également par le fait que nous nous étions bien préparés.
Les 10/12 premiers kilomètres se passent plutôt bien.

Au 15ème je commence à peiner mais je m’accroche à mon lièvre Abdel


S’en suivent de longues lignes droites et des moments de doute

Arrive le 20ème kilomètres où sont postés Sophie et Philippe. Il me reste la fameuse Wettsteinbrucke à franchir…
Je donne tout ce qu’il me reste

Je franchis la ligne d’arrivée avec Abdel et boucle cette course en 1.46.47

Un grand MERCI à mes coéquipier(e)s :

A Christine pour m’avoir embarquée dans cette belle aventure.
A Abdel pour sa participation à cette course uniquement pour faire mon lièvre et pour son soutien sans faille tout au long de la course.
A coach Philippe pour sa présence, son appui et ses entraînements qui m’ont permis d’en arriver là.
A notre hirondelle

A Philippe W. pour sa présence à nos côtés tout au long des entraînements et son réconfort . »

Ce semi fut pour moi une belle aventure humaine et sportive. ♥️
J’étais entrain de boire mon p’tit café tranquillou…
que soudain mes 2 fusées d’entraînement Christine et Coralie
me propose de relever ce défi avec elles,
J’avertis mon staff, mes différents sponsors tout le monde est OK.
donc me voilà, parti pour l’aventure et la préparation commence, avec toute l’équipe
(Coralie, Christine, Donata, Sophie, Philippe, Gilles et Stan).
Et au départ du semi, j’étais en mode no stress☕ Christine en mode
, et Coralie en mode
J’ai fait toute la course avec Coralie.
Merci à Sophie et coach Philippe, pour leurs soutiens et encouragements avant, pendant et après la course.
Merci à Philippe et ses enfants, pour les encouragements, logistique etc… pour toute la journée de dimanche
Humainement et sportivement une belle expérience à renouveler.
Abdelah.
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Bravo a vous 4 !
pour Christine et Coralie : ne vous mettez pas de pression de chrono au départ , surtout pour une première sur cette distance est le plaisir + surprise sera a l’arrivée !
Prenez l’exemple » Virginie » …cool
Profitez bien de l’après course aussi
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Prochain article :
Un semi, ça se respecte. Ce n’est pas un objectif à prendre à la légère et je sais que vous avez été sérieux dans votre préparation et les résultats ont été là.
Deux beaux podiums par catégories (le système de catégories par tranches de 10 ans d’âge est maintenu en Suisse) alors qu’il s’agit de l’édition ayant eu le plus de participants, ce sont de très bons résultats.
Pour autant, j’ai parfois un peu de mal avec la notion de marathons « rapides » (peu de dénivelé et lignes droites) ou lents (l’inverse), alors que la légende du marathon s’est forgée à partir d’un exploit représenté par l’arrivée (et la mort) d’un messager à 640 mètres d’altitude après s’être sans doute cogné la distance sous le cagnard, en sandales (sinon pieds nus), sur des routes faites de dalles, de pavés, sinon de poussière et de caillaisse,… et probablement en moins de 3 heures.
Soucieux de rendre à César ce qui lui appartient, nous honorerons le fait que nos lointains ancêtres étaient plus endurcis au mal que la plupart d’entre nous et… qu’à conditions matérielles, technologiques et scientifiques équivalentes, le marathon originel pourrait s’apparenter aujourd’hui à une Sainté-Lyon.
Restons humbles et rappelons-nous que nos marathons actuels n’ont plus grand-chose à voir avec son illustre précurseur.