Course du Terril a Wittelsheim

  

C’est une course  atypique qui vous attend du côté de Wittelsheim : il s’agit pour les coureurs de monter un ancien terril. Un terril, c’est une colline artificielle construite par accumulation de résidu minier.

6 Cgfm y était parmi les 104 arrivants …

et une avalanche de podium pour le cgfm !!! !

13 -ème  : Didier M:  49:57.

1 er dans  sa catégorie  !

bravo 

 

————————————————

37-ème :   Audrey  56:25 .

1 ère dans sa catégorie et 2 -ème au scratch féminin!!

Pas facile cette course qui fait tourner la tête.  Il faut s’accrocher dans les montées et récupérer dans les descentes.
Avec Donata et Christine, nous nous sommes encouragées mutuellement. Un super moment de partage. Merci à nos supporters et aux coachs jamais très loin pour nous motiver et nous soutenir dans l’effort.
 Audrey.
————————————————

40 -ème : Donata : 56:58 .

Une première pour moi cette fameuse course du Terril. Je me retrouve sur la ligne de départ avec mes coéquipières Audrey et Christine. Le top départ est donné, nous avons démarré un peu vite, emporté par la foule. Nous sommes restés toutes les trois ensemble, nous nous sommes motivés mutuellement. Des spectateurs sur le côté nous encourage et nous disent que nous faisons partie des premières femmes. Du coup, malgré le vent, le froid et les montées, j’essaye de m’accrocher.

Mon objectif étant de faire un podium dans ma catégorie (pour une fois). Vers le 9eme kilomètres Audrey nous distance (forcément elle est plus jeune, ha,ha,ha), et une autre jeune fille nous dépasse. Je continue à me dire que je ne dois rien lâcher

Dernier virage avant l’arrivée et quel soulagement !

Je finis 4ème féminine et 1ère de ma catégorie  (une grande fierté pour moi )

Donata.

————————————————

42-ème :    Christine W : 57:08 . et 1 ère dans sa catégorie

Après un début de parcours plat, entamé comme à mon habitude à allure trop rapide, alors que je sais que je vais le payer par la suite, s’enchaine une longue suite de montées à m’en plus finir, avec de surcroît une météo hivernale, et un vent fort qui accentuait encore la sensation de froid.

A mi-parcours, la redoutable montée pour arriver tout en haut du Terril, gravit pour ma part en marchant, et où il m’a fallu puiser dans mes réserves pour relancer ma course.

J’avoue avoir énormément souffert, car nullement habituée à ce type de course.

J’étais hyper concentrée sur le chemin rocailleux et accidenté, car je craignais la chute à tout moment.

Foulée hésitante également en descente de peur de tomber, alors que certains coureurs passaient à côté de moi à vitesse « supersonique » !

Pour une première participation, je suis satisfaite de ma course terminée en 57mn16.

Une belle expérience, très enrichissante en ce qui me concerne.

Un grand merci à notre Président, Bernard et à Coach Philippe pour leurs encouragements d’avant course,

Merci à Coach Pierre, pour son travail qui me permet d’évoluer,

Merci à Donata, sans qui je ne me serai pas inscrite, pour son soutien durant toute l’épreuve, ainsi qu’à Audrey,

Enfin, un grand merci à ma moitié, pour son appui sans faille, et sa confiance en moi »

Christine W.

Bravo Christine pour cette première sur autre chose que du bitume ! Ou tout est différent  , ou l’on doit resté concentré  sur l’endroit ou l’on met les pieds et non sur le chrono , la ou la nature décide de ta foulée .

en 57 mn tu as appris beaucoup ….

————————————————

65-ème :  Jean-marie G. :   1:03:18 .

et  aussi 2 -ème dans sa catégorie

Pas si terrible que ça le Terril. Ça monte gentiment en faisant tout le tour de la colline. En courant je pense et je confirme la théorie de l’érection des pyramides D’Egypte. Il suffit de mettre une rampe en terre tout le tour de la pyramide pour monter chaque pierre de plusieurs tonnes tirée tranquillement par des bœufs.

l’ancien avec son  expérience a parlé 

respect .

————————————————

80 -ème :  Jacques : 1:06:13 .

Un commentaire

  1. Félicitations pour cette « avalanche » de perfs réalisées dans des conditions difficiles!
    Vous pouvez être fiers de vous, comme le Club l’est.
    A noter: « nos » filles brillé sur cette course alors même qu’il s’agissait d’une préparation au semi.
    Je rejoins Eric qui soutient qu’en « hors bitume », c’est le terrain qui décide en grande partie. A nous donc de nous y adapter. N’est-ce pas même la raison d’être de l’entraînement?

Répondre à Philippe Annuler

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *